• Les Chats du Maquis sont de nouveau à l'honneur.

    Martine nous a décerné le prix Arte Y Pico ; de cette nouvelle nomination découle une règle (tous aux abris) :

    "Choisir cinq blogs que vous estimez mériter ce prix pour leur créativité, leur conception, un matériel intéressant, et qui contribuent à la communauté des bloggeurs {c'est tout nous ça ! MDR} quelle que soit leur langue. Chaque prix doit contenir le lien vers le blog de son auteur pour être lu par tous. Le lauréat doit montrer le lien de l'Arte y Pico et afficher les règles."

    Merci Martine pour cette nouvelle distinction. Visiblement la langue des chats étaient aussi acceptée ! Miaou.

    Voici les blogs sur lesquels je vous propose une petite croisière :


    A petits pas et librement

    d'Art et d'humeurs équines

    Le Chemin du bonheur


    Rose


    ** NDLR : je ne cite que trois blogs
    car j'ai remarqué que les blogs que j'avais tagué précédemment n'ont pas pris le relais. **



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  • Bonjour ! Je suis le chat dont la beauté féline
    S’est imposée d’emblée à toute la maison.
    Toujours fier mais discret, je suis d’humeur câline
    Depuis que j’ai quitté un bien morne horizon.

    Merci, chers bienfaiteurs ! J’avais si triste mine
    Quand des maîtres attentifs, enfin, m’ont accueilli.
    Pauvre et déchu, j’errais, torturé de famine
    Jusqu’à ce jour béni où je fus recueilli.

    Qu’il m’est doux ce foyer, où plus rien ne me fâche !
    La vie a pris pour moi de riantes couleurs.
    D’aucun diront encor qu’à nul  je ne m’attache ;
    Que croient-ils donc que j’aie à la place du cœur ?

    De grâce, accueillez-les tous ces traîne-misère,
    Tristes chats apeurés qui ont perdu leur mère,
    Et qui seraient si heureux de vous dire merci
    A leur manière.

    Si mon bonheur est grand, il n’est pas égoïste,
    Alors, ouvrez vos cœurs au sans-grade, à l’exclu,
    Il saura vous aimer et vous prouver bien vite
    Que ce geste d’amour ne sera pas perdu.

    Jacqueline Lenoble


    *


    Pour accompagner ce poème, j'ai créé un diaporama avec les tendres dessins de Debbie Cook. Ces illustrations étant plus attendrissantes les unes que les autres, il m'a été difficile de les trier. Laissez aller le défilement ; si vous appréciez les dessins Naïfs vous ne serez pas déçus par la finesse et la précision de ceux-ci :

     







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  •  

    Dans la série petits bobos des Chats du Maquis, voici Robin.

    Vous vous souvenez de sa présentation ? Le chat qui a toutes les qualités ! Ca vaut le détour, allez vite lui rendre une visite.






    Mon joli et tendre Robin est en soin.

    Ulcère à l'oeil gauche que l'on voit sur la photo, un peu glauque sur le côté, il a peut-être reçu un mauvais coup de griffes.

    Il faut bien être deux pour le soigner. Un qui le tient et l'autre qui ouvre l'oeil pour y déposer un gel, mais le lascar commence à se méfier, il a une semaine de traitement et ça ne fait que commencer.

    J'espère que le voile disparaîtra à la fin du traitement...

    Joëlle


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  •  


    Avec l'autorisation de son auteur, j'insère sous la forme d'un article, un commentaire -posté sur l'article LE DEUIL DE NOS ANIMAUX- qui mérite par sa qualité d'être mis en exergue. Je remercie sincèrement Marc pour son témoignage :



    ""Je suis véto et j'euthanasie très souvent des animaux.

    J'explique toujours gentiment aux maitres comment je vais procéder et comment le chat va réagir (par exemple petites contraction post mortem sur un animal très débilité) ; ainsi, je sens ceux à qui je dois proposer l'éventualité de s'eclipser avant la fin. Dans ce cas, il peut m'arriver d'anesthésier le chat par voie intramusculaire, avant de faire une intraveineuse de poison, un des maitres partant quand le chat dort.

    Je fais l'euthanasie dans une salle éloignée des consultations de façon à expliquer aux maitres qu'ils peuvent rester aussi longtemps qu'ils en ont besoin auprès du cadavre, loin du tohu bohu de la clinique. Parfois au contraire je sens que les maitres veulent à tout prix ne pas assister à l'euthanasie, et je me débrouille seul... TOUJOURS je ratrappe les maitres avant qu'ils ne quittent la clinique, et ,quelle que soit mon impression ou ma conviction, je leur répète 2 ou 3 fois qu'ils ont eut raison de faire piquer leur chat maintenant, parfois je leur rapelle tous les soins qu'ils lui ont fait donner, les maladies dont on l'a sauvé, grace à leur attention : les gens se sentent souvent coupables me semble t il

    Parfois, j'attends 2 semaines, ou +, je ne me force pas, et j'envoie un petit mot, modeste, neutre, insistant seulement sur ma façon d'avoir perçu les particularités du caractère de cet animal là, en particulier : il s'agit toujours d'animaux que j'ai connu, des 1ers vaccins jusqu'à la fin. J'avoue que sur ces chats que j'ai connu 15 ou 20 ans, je laisse parfois couler mes larmes, sans chichi.

    J'ai ainsi euthanasié d'innombrables chats, chiens, nacs, vaches, chevaux, ânes, volatiles, etc...

    Ma façon de m'en tirer ? étant bouddhiste depuis 20 ans, je tue en pratiquant la pleine conscience : concentré sur ce que je fais, et sur ma respiration, et sur l'instant présent de cette mise à mort, cet acte n'est jamais banal ni machinal pour moi.

    Ainsi je me protège du coté corrosif de l'euthanasie pour celui qui en pratique beaucoup. A ce moment là + qu'à tout autre j'essaie d'aimer les gens, même ceux que je prends en tant normal pour des sales cons...

    Si j'accepte de pratiquer l'euthanasie, pour quelques instants j'accepte intégralement les maitres... il m'arrive plusieurs fois par trimestre de refuser l'euthanasie parce que les motifs ne me semblent pas acceptables...

    Il m'arrive aussi de pratiquer l'euthanasie uniquement parce que je sais que c'est ça ou un coup de fusil du propriétaire de l'animal... Dans ces cas là, je chasse le maitre avant de me débrouiller seul avec le chien (ce qui m'a déja valu 5 jours aux urgences pour septicemie par simple morsure d' un chien désemparé...)

    Il m'arrive aussi de pratiquer l'euthanasie plus tôt que je l'aurais fait pour mon animal, parce que je sens le maitre à bout, incapable d'en supporter + (une longue agonie) dans ce cas je sens parfois que je peux prendre les rênes et dire au maître : protégez vous, n'allez pas risquer un infarctus ou un avc, il faut tout arreter maintenant.

    Parfois, je sens les couples très divisés. dans ce cas là, toujours j'impose 2 ou 3 jours de réflexion : je montre à 1 partenaire que l'autre n'est pas prêt...

    Voilà, à chaud, quelques détails sur mon vécu de cet aspect de ma profession. savez vous qu'en Europe, vétérinaire est une des professions ou il y a le + de suicides (vers 40 ans) ? nous avons ce qu'il faut, nous savons nous en servir, nous avons une idée plutôt positive de l'euthanasie, et... nous sommes souvent surmenés"".




    °  Pour accompagner ces lignes touchantes, j'ai placé en première position du widget : Thomas Dutronc : Veish a no drom,  de l'album "comme un manouche sans guitare"  °


    Rose

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  • Les Chats du Maquis se sont encore fait alpaguer.

    Aujourd'hui, nous rentrons dans le jeu proposé par
    Fabienne, dont voici la règle :

    Prendre le premier livre qui vous tombe sous la main.
    L'ouvrir à la page 123.
    Trouver la 5ème phrase.
    Recopier dans votre blog les trois phrases suivantes.
    Taguer à votre tour trois personnes, en laissant un commentaire dans un de leur article.


    Le premier bouquin à hauteur-d'épaule-en-tendant-le-bras sur les étagères de mon bureau a été (héhéhé) :

    La Chatte - Colette

    Livre que j'ai lu plusieurs fois et feuillette souvent. Je le considère comme l'un des chefs d'oeuvre de la littérature féline. Je suis tant sous le charme de ce récit que j'avais failli appeler ma chatte Saha.

    Voici les 6ème, 7ème 8ème phrases et hum j'en ai rajouté une de plus, pour le plaisir.

    Savourez :

    "Mais elle {Camille} ne pouvait pas comprendre que l'humeur sensuel de l'homme est une saison brève, dont le retour incertain n'est jamais un recommencement.

     

    "Couché, seul, baigné d'air nocturne, mesurant le silence et la hauteur de sa cime par les cris affaibli des bateaux sur la Seine proche, l'infidèle retardait son sommeil jusqu'à l'apparition de Saha.

    "Elle venait à lui, ombre plus bleue que l'ombre, sur le bord de la verrière ouverte. Elle y restait aux aguets et ne descendait pas sur la poitrine d'Alain, encore qu'il l'en priât par des paroles qu'elle reconnaissait : Viens, mon petit puma, viens... Ma chatte des cimes, ma chatte des lilas, Saha, Saha..."

    "Elle résistait, assise au-dessus de lui sur le rebord de la fenêtre. Il ne distinguait d'elle que sa forme de chatte sur le ciel, son menton penché, ses oreilles passionnément orientées vers lui, et jamais il ne put surprendre l'expression de son regard".




    Merci Fabienne d'avoir pensé à nous. Le prochain tag sera celui proposé par Martine. [Mais... n'ayez crainte, les poupettes, je vous réserverai un chat de ma chatte ! ;-))))]


    Je songe à [j'ai des comptes à régler avec les deux premières lol] :

    Karine

    Chantal

    Joëlle Chen


    pour nous faire découvrir le passage d'un livre, selon la règle édictée ci-dessus.


    Rose




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  • Amitié naissante entre Pouchkine l'indifférent et Néro le tendre


    Pouchkine, qui est très sympa, ne s'est jamais intéressé aux autres chats, mais n'a jamais levé la patte sur personne, il les dédaignait seulement.

    Néro le pot de colle, a force de ténacité (et surtout parce qu'il n'a jamais compris que Pouchkine était blindé à toute ouverture) sans en avoir conscience, a trouvé la petite faille dans la carapace du beau Pouchkine

    Depuis que Pouchkine s'est rapproché de son copain Néro, il est moins exigeant avec moi côté bisous... Quel soulagement (pour savoir quelle est "ma délivrance", petit clic sur Pouchkine pour connaître son penchant) !

    Je ne sais par quel hasard cette amitié est née, mais elle dure ! Pouchkine le dédaigneux qui n'a jamais toléré ses congénères, sans jamais en agresser un seul, s'est laissé convaincre par ce bon gros doudou de Néro. Ils se cherchent, se trouvent, jouent et se font une petite toilette mutuelle quotidienne. Pourvu que ça dure...


    Joëlle


    La preuve en images :






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  • Suite des aventures de Bibiche & P'tit Clown


    Vous vous souvenez du destin tragique qui aurait dû être réservé à
    notre duo ?


    P'tit Clown a repris du poil de la bête et a fini par combattre sa leucose puisqu'au fil des ans il s'est "éloigné" de la maison bien qu'il vienne encore manger, jouer dans la pelouse avec ses potes et dormir par les froides soirées d'hiver ou de pluies.


    Notre P'tit Clown est resté longtemps très attaché à sa copine Bibiche qu'il ne quittait pour ainsi dire jamais. Ils jouaient et dormaient ensemble.



    A dose homéopathique, Bibiche s'est éloignée de P'tit Clown car celui-ci devenait très entreprenant -ne vous m'éprenez pas sur le terme- pour acquérir tous les petits bonheurs de sa copine ! Si elle dormait dans un bon panier, il venait lui chiper la place sans ménagement parfois. Si elle jouait avec une petite souris en peluche, il arrivait pour lui saisir, de plus en plus sans ménagement, idem pour la gamelle, il fallait qu'il se colle à elle pour se servir le premier !

    Bibiche s'est lassée et le divorce a été prononcé !

    P'tit Clown est très tendre et adore les caresses, je ne comprends pas son éloignement alors qu'aucun chat de la troupe ne l'indispose. Il fait sa petite vie avec d'autres chats à deux pas de chez nous.



    **


    En janvier 2000 l'heure a sonné pour la stérilisation de la Demoiselle Bibiche.

    Lorsque je l'ai récupérée, on m'annonce qu'on lui a fait la totale car elle avait une belle infection ! Nous rentrons à la maison et là, notre P'tit Clown a "récupéré" sa copine et ne l'a pas quitté de la nuit. Il l'a tenu bien au chaud collée sur son ventre et coincée entre ses pattes. Je suis témoin puisque son état m'inquiétait et que je me suis levée plusieurs fois dans la nuit pour la surveiller. Ma Bibiche est restée KO plus de 48 heures !

    Elle a repris ses jeux innocents avec P'tit Clown.

    Elle est très affectueuse, calme avec les autres chats et reste toujours sur la défensive avec nous bien qu'elle dorme souvent dans le lit scotchée à nous. Il doit lui rester un fort instinct sauvage malgré sa sociabilisation...


    Joëlle


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  • La mort d’un animal aimé confronte à un chagrin parfois insurmontable


    Comment traverser cette période délicate de deuil ?






    Un sujet tabou :

    Lorsqu’un animal meurt, c’est un deuil, comparable à celui qui se vit lors du décès d’un être humain. Pourtant, la douleur particulière ressentie à la mort d’un animal reste presque un sujet tabou. N’est-ce pas faire preuve de "sensiblerie", dans ce monde où tant d’êtres humains souffrent et meurent ? Pourtant, cette souffrance bien réelle doit être vécue pour ensuite pouvoir être dépassée.




    Mort dans la dignité    -   L'euthanasie  :

    Face à un animal malade ou très âgé, l’euthanasie est une option fréquente. Décider d’abréger les souffrances d’un animal aimé n’est pas facile. Une euthanasie est une décision concertée entre le vétérinaire et le propriétaire. L’évaluation de la souffrance de l’animal permet de prendre une décision.

    Elle s’impose quand l’animal malade risque l’étouffement, ne peut plus se lever ni bouger, ne vous reconnaît plus, mais aussi quand on estime que son état le rend profondément malheureux (c’est le cas des chats qui n’arrivent définitivement plus à être propres) et là son regard ne vous trompera pas...

    Pour prendre la décision, le fait de se mettre à la place de l’animal constitue une aide ; de voir le monde avec ses yeux à lui, afin de vous rendre compte si sa vie lui procure encore du plaisir ou s’il se trouve trop souvent placé dans des situations insupportables. Pour décider du moment opportun d’une euthanasie, le conseil du vétérinaire est précieux. En général, les maîtres qui ont été associés
    aux décisions tout au long du traitement d'une maladie ou d'un handicap ont moins de difficultés apparentes à accepter l’inéluctable.

    Il est préférable de choisir l’euthanasie à domicile pour que l’animal soit auprès de ceux qu’il aime. Autant pour les animaux que pour leurs maîtres, cela permet d’échapper au stress du déplacement et, pour l’animal, de se trouver dans un lieu mal-aimé.




    L’acte d’euthanasie doit s’effectuer dans un environnement le plus serein possible. Il est administré à l’ animal un médicament par voie veineuse de façon indolore qui va l’endormir de façon poussée. Très rapidement son cerveau va se déconnecter, puis son cœur va s’arrêter. Le choix est laissé au propriétaire d’assister ou non à l’acte. Il est préférable d’y assister car cela évite de laisser des questions en suspens sur les derniers instants de la vie. Bien souvent, l’euthanasie est alors mieux vécue par les propriétaires.

    Après l'euthanasie : c’est un moment très important qui ne doit pas être bâclé. Rester seul avec son compagnon pour lui faire ses adieux. Surtout s’il a été décidé de confier le corps au vétérinaire. La préparation du corps pour l’incinération est ensuite effectuée en dehors de la présence des maîtres, sauf sur demande de ces derniers.

    (Il existe aux Etats-Unis des unités de soins palliatifs pour animaux de compagnie pour les propriétaires qui refusent l’euthanasie).




    Les rituels qui aident à faire le deuil  :

    Comme pour tout être cher, les rituels aident à dépasser la douleur et faire le deuil, que l'animal ait été endormi ou qu'il ait été victime d'un accident. Enterrer l’animal et fleurir sa tombe, allumer une bougie après sa mort et la laisser se consumer jusqu’au bout, graver son nom sur de belles pierres et les poser sur la terrasse ou dans le jardin, mais aussi simplement se souvenir des bons moments passés ensemble, les évoquer ou les écrire rendent hommage à l’animal et reconnaissent son existence. Une idée originale : planter un rosier et saluer chaque éclosion de fleurs, symbole de vie et de renaissance. Au fil du temps, le deuil permet non pas d’oublier, mais de transformer la douleur en souvenir. Ensuite, il est essentiel de pouvoir parler de sa souffrance ; si vos proches ne sont pas réceptifs, demandez à votre vétérinaire s’il peut vous consacrer un moment. Et contactez les associations d’aide, les lignes d’écoute pour deuils d’animaux, les nombreux forums.




    Comment en parler aux enfants  :

    Aussi liés que leurs parents à l'amour porté à l’animal, les enfants font souvent face plus facilement au deuil que les adultes. Pour cela, ils ont besoin de voir, de savoir, de comprendre, d’être avec. Accompagner la fin de l’animal est nécessaire : inutile de faire des cachotteries à l’enfant, qui risque ensuite de remettre en cause la confiance qu’il vous porte. Ne lui cachez pas plus l’état de l’animal, le sort qui l’attend que vos propres émotions. Par contre, il n’est pas forcément souhaitable qu’un enfant assiste à l’euthanasie d’un animal. Mais associez-le aux rituels funéraires : l’enfant peut faire un dessin qu’on enterre avec l’animal ou qu’il posera sur sa tombe, par exemple. Ou bien réciter une petite prière pour l’animal le soir. Quand l’enfant est un ado, soyez vigilant : la perte de l’animal qu’il a connu depuis sa plus tendre enfance peut être très douloureuse. Si vous le voyez ruminer des idées noires, l’aide d’un psychologue peut être utile.




    °

    Je vous propose de... trinquer en hommage à Whisky
    qui nous a quittés il y a quelques jours. Son grave coryza chronique a eu raison de lui. Joëlle a pris la décision, avec le vétérinaire, de mettre fin à ses souffrances et il s'est endormi dans des bras qui l'ont choyé et aimé... Reposes en paix maintenant beau Whisky, ta vie sur cette terre n'aura pas été facile... Ce blog t'aura apporté une petite notoriété car ton nom, lors de ta présentation, avait appâté les connaisseurs :-)


    °

    * Les superbes dessins à l'encre sont de
    Danielle BECK, artiste peintre animalier ; allez découvrir son travail.  *




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