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Et ben quoi, il y a les pré-commandes, les pré-inscriptions,
pourquoi il n'y aurait pas les pré-vacances !
C'est bien aussi, ça a un goût d'avant, pour déguster ce qu'il y a à venir,
on imagine du repos, du farniente, des découvertes, des partages, des activités ludiques, des rencontres
Plus que quelques jours pour que notre petite communauté féline
chausse ses tongs, sorte les parasols et les glaçons dans la citronnade comme chaque année à la même époque
En attendant, on s'échauffe !
C'est ça les pré-vacances !
C'est Titi chérie qui vous l'dit
23 commentaires -
Aujourd'hui, Oscar a décidé de publier un article pour nous les bipèdes :
Quand faire face à trop de choix nous épuise
Après une journée de travail, de tracas et de sollicitations, beaucoup d’entre nous sont épuisés à l’idée de prendre la moindre décision. Au point, parfois, de ne pas réussir à choisir entre la soupe et les légumes pour le dînerCet épuisement porte un nom : la fatigue décisionnelle
Toute la journée, au travail, vous avez dû prendre des décisions plus ou moins complexes, plus ou moins importantes, souvent dans l'urgence. Le soir, chez vous, alors que vous n’aspirez à rien d’autre qu’un repos bien mérité, ce sont les enfants qui vous sollicitent. « Le petit peut-il aller dormir chez un copain samedi ? Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » Votre conjoint, de son côté, vous demande : « Où partons-nous en vacances cet été ? ». L’idée même de devoir prendre cette décision vous épuise ? Vous souffrez peut-être sans le savoir de « fatigue décisionnelle »
A la fin des années 1990, le psychologue américain Roy Baumeister a avancé une théorie selon laquelle le cerveau, comme un muscle, pourrait se fatiguer. Dans l’une de ses expériences, il a demandé à des personnes de résister à la tentation de manger d’appétissants cookies. Cet effort a affecté leur capacité ultérieure à réaliser certaines tâches requérant un nouvel effort mental. Il a appelé ce phénomène « épuisement de l’ego ». Notre cerveau dispose certainement d’une capacité décisionnelle consciente limitée, explique Gilles Lafargue, psychologue et docteur en neurosciences. Nous faisons des choix en permanence. Si votre nez vous démange, vous ne décidez pas de vous le gratter avec l’index ou le pouce. Cela se fait naturellement. La plupart de ces choix dans la vie de tous les jours sont faits de manière automatique et non-consciente. C’est la prise de décision consciente qui épuise, dès lors qu’il y a un effort de la volonté
5 conseils pour moins se fatiguer
: Pas facile de prendre de la distance face à l’avalanche de sollicitations dont nous pouvons être la cible au cours d’une journée. « Nous avons tous des smartphones, nous sommes stimulés en permanence, explique Gilles Lafargue. En réunion, un SMS arrive avec une question concernant la vie de famille. Nous pourrions nous dire « je ne regarde pas », mais le fait de résister est un effort conscient, aussi fatigant qu’une décision. En revanche, nous pouvons organiser notre environnement de manière à avoir le moins de petites décisions possibles à prendre au quotidien. D’une manière générale, on s’économise en se mettant en pilotage automatique »C’est d’ailleurs la solution adoptée par Mark Zuckerberg, créateur de Facebook. Il porte tous les jours le même genre de tee-shirt, s’évitant ainsi de devoir réfléchir à ce qu’il va mettre. Ainsi, il s’épargne un choix conscient de plus chaque jour et concentre toute son énergie disponible à son entreprise. Tout comme Barack Obama, qui déclarait en 2012 : « Je ne porte que des costumes bleus ou gris, j’essaie de réduire au minimum le nombre de décisions à prendre. »
Lâcher du lest : Quand c’est possible, lâchez prise ! Prévoir une seule chose à faire pour soi durant les week-ends. Un bon moyen de se ressourcer.
Se faire confiance : Et si le mieux était de suivre son flair ? Pour Gilles Lafargue, parfois, trop réfléchir est contre-productif : « Des études montrent que dans certains cas complexes, nous prenons de meilleures décisions en répondant intuitivement plutôt que lorsqu’on pèse trop le pour et le contre ». De même, il est parfois bon de s’occuper des tâches importantes dès le matin, moment où, pour la plupart d’entre nous, les ressources mentales sont au plus haut.
Se donner un délai : Certaines décisions peuvent prendre des heures de tergiversations épuisantes. Se donner un temps limité pour choisir permet de faciliter le passage à l’action.
Se tenir à ses choix : Une fois la décision prise, ce n’est plus la peine de revenir dessus. Le choix a été fait, mais cela nécessite également d’accepter que la plupart du temps, il n’existe pas de solution parfaite et que nous faisons le meilleur choix possible dans un contexte donné.
Hiérarchiser les urgences : Les décisions à prendre s’enchaînent ? N’hésitez pas à prendre un temps pour hiérarchiser les urgences… et à remettre à plus tard celles qui ne nécessitent pas de réponse immédiate.Tout ça pour dire qu'à l'aube des vacances, nous pouvons nous remettre un peu en question, et même vis à vos des combats contre la misère animale afin de ne pas être englouti(e)s
Prendre du temps pour nous, hiérarchiser nos urgences, accepter de ne pas tout contrôler, accepter qu'il n'y a effectivement pas de solution parfaite mais des compromis à trouver et dans tous les domaines et notamment dans le milieu de la protection animale
Et faire comme les chats, porter toujours le même genre de chemise ou de robe pour limiter les décisions quotidiennes car nous le savons très bien, les chats ont beaucoup de décisions à prendre chaque jour !
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